600m
2h30, +900m, depuis le refuge du Chatelleret
9/12h
1 h 00 jusqu’au refuge Adèle Planchard
jeu complet de coinceurs et friends, du micro au n°=3,
et de nombreux petits coinceurs/friends, sangles,
3/4 pitons au moins dont extra-plats, 2 marteaux, piolet/crampons, matos de sécurité sur glacier.
Grande course très complète, TD/IV, peu reprise, à tort...
1ère ascension : M. Brun et A. Thévenon en 1964
300m
TD (6a max)
Très peu équipé, aucun relais en place. Rocher excellent, très compact.
Escalade en dalle peu protégeable, très belle et aérienne en excellent rocher, 6a obligatoire, du V+ exposé.
Seule une longueur est pourvue de matériel : la traversée en 6a sous les surplombs du bas de la face comporte quelques pitons et 2 gollots, les 1ers de l’Oisans, dit la légende, plantés en 1964!
Le lendemain de notre ascension en juillet 2004, le destin nous a mis sur la route d’un des ouvreurs de 1964, Marcel Brun, qui se promenait au col des Neiges : rencontre inattendue chargée d’émotion. Un niveau bien différent cependant: l’ancien nous l’a confirmé, l’ouverture s’est faîte en grosses!
1ère ascension : M. Fourastier et un compagnon
300m
D (V max)
Aucun équipement en place, rocher bon dans les ressauts, mais parfois exécrable et dangereux.
Arête très belle et aérienne avec des vues sublimes sur l’ensemble du massif, l’escalade est encore très soutenue avec une recherche d’itinéraire permanente, et de nombreux ressauts très raides et aériens en rocher souvent bon, cependant, quelques passages sont dangereux en mauvais rocher. Vous serez surpris par le talent des 1ers ascensionnistes, à ne pas sous estimer! Une « énigme d’itinéraire » particulièrement intéressante.
Remarque : parcourir l’arête WNW avec pour simple précision celle du Labande « contourner un surplomb par la droite » est très intéressant au niveau recherche d’itinéraire, découverte, aventure :-)
